Le Décameron de Boccace

flesh ghome flesh d

 

Florence 1348 - La peste

*******

téléchargez ici notre plaquette du specatcle

plaquette

 

INTRODUCTION

1348, la peste sévit à Florence : la population de 90000 habitants sera réduite à 50000 par le fléau. Boccace voit dans cette calamité une invitation, non pas à méditer sur l'au-delà, mais à jouir de ce que la vie peut offrir.

Il imagine donc que sept jeunes filles et trois jeunes gens qui n'ont pas la moindre envie d'être victimes de l'épidémie meurtrière, se réunissent et, sur l'instigation de Pampinea, se réfugient à la campagne. Dans une villa des environs de Florence, cette " aimable compagnie ", ayant laissé tristesse et soucis derrière les portes de la ville, passera dix jours à " vivre gaiement ".

Chacun des membres de la " joyeuse bande " assumera à tour de rôle la responsabilité de l'organisation et du bon déroulement des divertissements d'une journée: promenades, musique, danse, entre autres.


Pendant les heures les plus chaudes, on se met au frais pour écouter le récit des dix contes que chacun proposera : cent nouvelles plus ou moins nobles, innocentes, drôles tragiques, sentimentales. Leurs protagonistes sont de toutes les classes sociales.
Le ressort de cette épopée d'une société est l'Amour, du plus érotique au plus pur, la qualité de cet amour dépend de la personne et non plus de la classe sociale.

Déjà servi par les plus grands, de Botticelli à Dali, en passant par le cinéma et la télévision, Boccace est maintenant au service du tout public grâce à Americo, le troubadour du XXe Siècle.

 

 

PAROLES DE BOCCACE

« Femmes, amies au rare discernement, c’est à vous que je pense  en écrivant ces historiettes. Puissé??-je pour ma part redresser l’injustice de votre sort. Pour le secours et le refuge de celles qui sont amoureuses et souvent brimées par la volonté, la fantaisie et les ordres des pères ou des mères, des frères ou des maris, je vais donc reproduire cent nouvelles qui furent contées dans une honnête brigade de sept jeunes femmes et de trois jeunes gens ainsi que plusieurs ballades que ces personnes ont chantées pour leur plaisir.


Si je parviens à mes fins – et Dieu veuille qu’il en soit ainsi ! – Les jeunes femmes doivent remercier Amour, qui m’a libéré de mes chaînes et me permet de m’adonner entièrement à leur plaisir ».


G. Boccace – ( Préface du Décameron 1353 )

 

Boccace

G. Boccace

flesh ghome flesh d


[ Accueil | Thèmes en musique | Photos | Presse | Ménestrel | Boccace | Vidéos | News | Contact | Liens ]